Déclaration de la FMTS sur Gaza

Depuis deux semaines, des milliers de raids aériens, maritimes et terrestres ont semé la panique quotidienne à Gaza et ont entraîné la mort de plus de mille personnes à ce jour (27 juillet 2014), principalement des civils et notamment des femmes et des enfants. Les souffrances infligées à la population de Gaza sont intolérables. Elles s’ajoutent à l’emprisonnement de fait d’un million et demi d’êtres humains depuis 8 ans de blocus.

Le gouvernement d’Israël poursuit et aggrave la colonisation de la Cisjordanie et de Jérusalem ce qui éloigne la possibilité d’un règlement pacifique et celle -conformément aux résolutions de l’ONU- de la création d’un État palestinien effectif et souverain.

Dans nombre de pays dans le monde, des confusions sont savamment distillées : ainsi, condamner les actes de l’armée israélienne serait de l’antisémitisme ! C’est au contraire pour une paix juste et durable, bénéfique à toutes les communautés que des milliers d’organisations –auxquelles nous nous joignons- appellent au cessez-le –feu et à la recherche d’une solution négociée.

Le recours à des moyens scientifiques et techniques toujours plus avancés (notamment les drones armés et le guidage des projectiles) n’apportera pas la sécurité à laquelle les peuples aspirent, tant en Israël qu’en Palestine. En outre il peut contribuer à renforcer l’hostilité à la recherche scientifique, hostilité qui tend à se répandre dans les opinions publiques.

Pour l’immédiat, la FMTS condamne les bombardements aveugles des populations sans défense et s’associe aux nombreux appels à l’arrêt immédiat de la campagne militaire israélienne à Gaza. Elle presse l’ONU à mettre en œuvre tous les moyens diplomatiques et militaires afin de protéger au plus vite les populations. A plus long terme, la communauté des scientifiques que nous représentons soutient que la voix inévitable pour une paix juste et durable en Palestine, passe par la reconnaissance des droits des Palestiniens à un pays libre et indépendant coexistant d’égal à égal avec Israël, dans des frontières sûres et reconnues internationalement.

Depuis deux semaines, des milliers de raids aériens, maritimes et terrestres ont semé la panique quotidienne à Gaza et ont entraîné la mort de plus de mille personnes à ce jour (27 juillet 2014), principalement des civils et notamment des femmes et des enfants. Les souffrances infligées à la population de Gaza sont intolérables. Elles s’ajoutent à l’emprisonnement de fait d’un million et demi d’êtres humains depuis 8 ans de blocus.

Le gouvernement d’Israël poursuit et aggrave la colonisation de la Cisjordanie et de Jérusalem ce qui éloigne la possibilité d’un règlement pacifique et celle -conformément aux résolutions de l’ONU- de la création d’un Etat palestinien,.

Dans nombre de pays dans le monde, des confusions sont savamment distillées : ainsi, condamner les actes de l’armée israélienne serait de l’antisémitisme ! C’est au contraire pour une paix juste et durable, bénéfique à toutes les communautés que des milliers d’organisations –auxquelles nous nous joignons- appellent au cessez-le –feu et à la recherche d’une solution négociée.

Le recours à des moyens scientifiques et techniques toujours plus avancés (notamment les drones armés et le guidage des projectiles) n’apportera pas la sécurité à laquelle les peuples aspirent, tant en Israël qu’en Palestine. En outre il peut contribuer à renforcer l’hostilité à la recherche scientifique, hostilité qui tend à se répandre dans les opinions publiques.

Pour l’immédiat, la FMTS condamne les bombardements aveugles des populations sans défense et s’associe aux nombreux appels à l’arrêt immédiat de la campagne militaire israélienne à Gaza. Elle presse l’ONU à mettre en œuvre tous les moyens diplomatiques et militaires afin de protéger au plus vite les populations. A plus long terme, la communauté des scientifiques que nous représentons soutient que la voix inévitable pour une paix juste et durable en Palestine, passe par la reconnaissance des droits des Palestiniens à un pays libre et indépendant coexistant d’égal à égal avec Israël, dans des frontières sûres et reconnues internationalement.